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Le cadre : le coeur de la France

 

 

 

L’Allier, tout un patrimoine historique et naturel se décline pour vous : art roman, forteresses des ducs

de Bourbon, forêts domaniales...

parc du château de la Croix

 

A visiter aux alentours...

Un écrin patrimonial au cœur de la France. L’Allier compte parmi les départements français au patrimoine monumental le plus riche. Dans le bocage Bourbonnais, à  proximité de Theneuille, tout un patrimoine historique se décline pour vous. Circuit proximité : sur place (rayon de 15 km).

A 5 km recherche du vert et de la fraîcheur : non loin se trouve la forêt du Tronçais, plus belle forêt de France avec ses chênes plantés sous Colbert, ses vastes étangs et ses villages médiévaux à tenant. Véritable poumon naturel du centre de la France.

LA MAJESTUEUSE FORÊT DE TRONÇAISLa majestueuse forêt du Tronçais

L’art roman en abondance : à Theneuille, Cérilly et direction Moulins, l’église d’Ygrande, de St- Menoux et sa débrédinoire pour guérir les simples d’esprit. 

Pour les passionnés de littérature, de petits musées dédiés aux écrivains locaux Emile Guillaumin et  Charles Louis Philippe évoquent l’histoire quotidienne des bourbonnais au XIXe siècle. Côté peinture, le peintre Marcellin Gilbert Desboutin, originaire de Cérilly fera partie de l’aventure impressionniste.

Marcellin Gilbert Desboutin, né à Cérilly (Allier) le 26 août 1823 et mort à Nice le 18 février 1902, est un peintre, graveur et écrivain français.Autoportrait de Marcellin Desboutin 1894


Fils de Barthélémy Desboutin, garde du corps de Louis XVIII, et de la baronne Anne-Sophie-Dalie Farges de Rochefort, il fait ses études au collège Stanislas de Paris et entame des études de droit tout en écrivant des œuvres dramatiques. En 1845, il entre dans l'atelier du peintre Louis-Jules Étex à l'École des beaux-arts de Paris, puis il suit pendant deux ans les cours de peinture de Thomas Couture. Il voyage ensuite en Grande-Bretagne, en Belgique, aux Pays-Bas et en Italie. Il acquiert en 1857 une grande propriété près de Florence, "l'Ombrellino", où il mène une vie fastueuse et se lie avec Edgar Degas.

 

La Guerre de 1870 interrompt les représentations au Théâtre Français de Maurice de Saxe, pièce écrite en collaboration avec Jules Amigues.

 

En 1873, ruiné par des spéculations hasardeuses, Desboutin s'installe à Paris, où il retrouve Degas et fréquente Édouard Manet au café Guerbois et au café de la Nouvelle Athènes. Chez Manet, il rencontre Émile Zola.


Pour gagner sa vie, il étudie la gravure et commence une série de pointes sèches tout en exposant ses peintures aux Salons. Il participe ainsi à la deuxième exposition des impressionnistes avec six tableaux, dont Le Chanteur des Rues et Le Violoncelliste. Il fait de nombreux portraits de ses amis, parmi lesquels Edgar Degas, Auguste Renoir, Berthe Morisot, Pierre Puvis de Chavannes, Eugène Labiche, Nina de Villard, Erik Satie, Joséphin Peladan, Edmond et Jules de Goncourt. En 1880, la nostalgie du soleil le pousse à s'installer à Nice, où il demeure jusqu'en 1888. Avec la découverte, dans une villa de Grasse, de cinq compositions de Jean-Honoré Fragonard, Marcellin Desboutin réalise cinq gravures d'interprétation : La Surprise, Le Rendez-vous, La Confidence, L'Amant couronné et L'Abandonnée.


De retour à Paris, il participe à la fondation de la deuxième Société nationale des beaux-arts et fête sa nomination dans l'ordre de la Légion d'honneur, le 8 juin 1895 avec deux cents convives présidés par Pierre Puvis de Chavannes, dans l'un de ces restaurants de Montmartre qu'il affectionne, en portant le toast « Messieurs, buvons à Manet dans la peinture, à Chabrier dans la musique, à Villiers et à Duranty dans la littérature ! ». Il retourne à Nice en 1896 et y travaille jusqu'à sa mort en 1902.


Écrivain, Desboutin, outre Maurice de Saxe, est l'auteur d'une traduction de Don Juan de Byron et d'un drame réalisé à la fin des années 1880, Madame Roland.Desboutin a lui-même posé pour Manet, Renoir et Degas, notamment pour son célèbre tableau L'Absinthe de 1876.A Paris, il était voisin d'atelier du peintre Eugène Cauchois (1850-1911) au no 32 rue des Dames.

 

 

Article Wikipédia >

Circuit petit détour : (rayon de 15 à 40 km)

A 15km pittoresque assuré avec Bourbon l’Archambault, première forteresse de la dynastie des Bourbons et charmante ville thermale aux origines gallo-romaines.

A 20km le village médiéval de Hérisson avec les ruines de son château féodal et celui de Souvigny,  avec une des premières abbayes clunisiennes à l’abbatiale intacte, spectaculaire à voir…

A 30 - 40 km la fameuse abbaye cistercienne de Noirlac  et le château renaissance de Meillant dans le Cher, dernier château « de la Loire ».

Des villes aux centres anciens exceptionnels : à Moulins et Montluçon les centres historiques médiévaux sont conservés…Un véritable panel d’architectures de cette époque à nos jours les entoure…et on y trouve également deux châteaux des ducs de Bourbons. Plusieurs musées étofferont votre visite.

A ne pas manquer, le célèbre triptyque du maître de Moulins (XVe siècle) !

Triptyque du maître de Moulins (XVe siècle)

A Moulins, de l’autre côté de l’Allier, Le prestigieux Centre National du Costume de Scène logé dans une caserne du XVIII e siècle conserve les fabuleuses collections de costumes de scène de la Comédie Français et de  l’Opéra de Paris. Le MUPOP, musée de la MUsique POPulaire à Montluçon évoque nos chansons d’antan…

Méconnus, d’innombrables manoirs fortifiés et châteaux jalonnent la route de vos vacances dans ce département remarquable pour le nombre de ses belles demeures. On les aperçoit au détour d’une route de campagne ou d’un chemin dans un charmant  paysage bocager qui semble ne pas avoir bougé depuis le XVIIIe siècle. Surprise et émerveillement !

En France, découvrir le patrimoine c’est aussi l’aventure : sur les traces d’une France authentique aux trésors patrimoniaux méconnus.

 

Le parc du château de la croix

 

 

 P1000423 vue du parc 2 Alain.jpg - 4.06 Mb

  

Planté en 1850 de nombreux arbres de l’époque de son première propriétaire, le restaurateur français Louis Bignon, existent encore. De cette plantation reste notamment une très belle allée de séquoias, des cèdres et chênes remarquables (dont certains sont même du XVIIe-XVIIIe siècle) ainsi que des haies de rhododendrons mauves, des buis et quantité d’hibiscus multicolores et de bignonias orangés. L’ensemble s’étend sur la totalité du domaine de 18 ha.

 

Visite guidée des lieux et visite guidée patrimoine du Bourbonnais sur demande avec Claire Elie Guide-conférencière nationale.